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Article
15 avr 2014
Dans le cadre du projet européen HabEat (2010-2014), coordonné par Sylvie Issanchou et réunissant 10 partenaires scientifiques, les chercheurs ont fait un pas en avant supplémentaire dans la compréhension de la façon dont les comportements et les préférences alimentaires se forment durant les premières années de la vie. Un colloque a fait le point sur les résultats obtenus ainsi que sur les recommandations à destination des professionnels de la petite enfance et des parents, les 31 mars et 1er avril 2014 à Dijon.
10 jan 2014
Une part significative de nos comportements et de nos choix alimentaires est influencée par des processus non-conscient. Afin d’approcher les mécanismes implicites sous-tendant ces comportements, une équipe du Centre des Sciences du Goût et de l'Alimentation a montré qu'une odeur de fruit non-consciemment perçue avait un impact sur les intentions de choix chez des adultes, guidant leurs choix vers des fruits ou des légumes.
26 nov 2013
La sélectivité alimentaire peut être définie comme la propension d’un individu à rejeter de nombreux aliments, y compris des aliments considérés comme familiers dans sa culture (c’est ce que le langage populaire désigne par l’expression « être difficile pour son alimentation »). Si la sélectivité a été bien étudiée chez les enfants, son impact sur le statut nutritionnel des personnes âgées reste largement méconnu.
L’âge s’accompagne d’un déclin des capacités chimio-sensorielles, c’est-à-dire de la capacité à percevoir une odeur ou une saveur. Toutefois, cette diminution moyenne cache une grande variabilité interindividuelle. Afin d’explorer l’existence de différents patterns d’altérations chimio-sensorielles au sein de la population âgée, 559 personnes de plus de 65 ans ont effectué des tests gustatifs et olfactifs mettant en jeu des processus allant d’un bas niveau de traitement à un niveau élevé (détection, discrimination, catégorisation).
Dans la plupart des maisons de retraite, la composition des menus, l’heure et le lieu des repas, le choix de sa place à table sont imposés aux résidents. Or, l’acte alimentaire ne se résume pas à la satisfaction d’un besoin physiologique. Au-delà du contenu sensoriel et nutritionnel de l’assiette, la dimension « plaisir » d’un repas peut aller du plaisir à cuisiner pour soi ou pour les autres, à la décoration de la salle à manger, à la façon dont les plats sont présentés, jusqu’au plaisir de le partager avec d’autres.
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